Tout le monde connaît Halloween, fête nationale aux Etats-Unis, où l'on revêt son costume le plus horrible pour quémander des confiseries et faire la fête entre amis. Mais saviez-vous quelles sont ses origines et qui a introduit cette tradition sur le nouveau continent ? Voici deux à trois millénaires que tout ceci a commencé dans les tribus Gauloises...
Voici l'Histoire, la vraie.Il y a plus de 2500 ans, la nuit de Samain ...Les Gaulois étaient le plus riche et le plus nombreux des peuples Celtes. Sa prééminence était telle que les Grecs et les Romains appelaient les Celtes : Gaulois. L'année gauloise se terminait à la fin de l'été le jour précis qui correspond aujourd'hui au 31 octobre. Les troupeaux étaient ramenés des prairies aux étables, et le soleil était remercié de la moisson qui représentait une aide pour la bataille à venir contre les ténèbres et le froid.
Ce dernier jour de l'année, on supposait que les esprits pouvaient faire une brève visite à leurs parents, alors que le Dieu de la mort tentait de rassembler les âmes de ceux qui étaient morts durant l'année afin de leur révéler leur sort.
En cette nuit du 31 octobre au 1er novembre commençait Samain. Au cours de cette première nuit de la nouvelle année on exécutait tout un cérémonial rigoureux afin de s'assurer d'une bonne année à venir.
Le soir, les Gaulois avaient éteint le feu dans l'âtre de leurs foyers, ensuite, au cours de la nuit ils se rassemblaient en cercle et les druides étouffaient solennellement le feu sacré de l'autel, puis frottaient des branches sèches du chêne sacré jusqu'à enflammer un nouveau feu pour honorer le dieu du soleil, et effrayer les esprits diaboliques. Chaque chef de famille recevait de la braise rouge recueillie dans ce feu pour en allumer un nouveau dans son âtre, feu qui devait brûler jusqu'à l'automne suivant. Ce feu sacré devait protéger du danger le foyer tout au long de l'année.
Halloween, de l'Irlande aux Etats-UnisAlors qu'en France la culture celte disparaissait, des coutumes populaires de Samain continuèrent à se développer en Irlande, Ecosse, Pays de Galles, et certaines régions d'Angleterre.
L'un des plats servis au dîner en Irlande à Halloween est appelé "Callcannon". A ce plat de purée de pommes de terre, de panais et oignons frits étaient mélangés une bague, un dé, une poupée en porcelaine et une pièce. Celui qui trouvait la bague pouvait se marier dans l'année, celui qui trouvait la poupée en porcelaine aurait un enfant, celui qui trouvait le dé ne se marierait jamais, et celui qui aurait la chance de trouver la pièce serait riche.
A la suite d'une grande famine les pratiques d'Halloween se déplacèrent avec la grande émigration Irlandaise de 1846/48 vers les États-Unis, emportant avec elles l'un des personnages les plus populaires de Halloween, Jack-o'-lantern.
L'histoire de trick-or-treatEn Amérique du Nord, Halloween n'a pas toujours été une fête d'amusements ... Au début du siècle, les gens se jouaient des tours pas nécessairement sympathiques. Les enfants se contentaient de défiler déguisés dans les rues et revendiquaient fortement des petits cadeaux. Gare aux radins!
La tradition du trick or treat en frappant aux portes n'est venue que dans un deuxième temps, plus récent, dans les années 30. Dans le même ordre d'idée, la sorcière n'est présente dans le folklore de Halloween que depuis le XIX°s. On retrouve là les Saturnales, la fête des Fous ou de l'Ane.
Halloween a mis longtemps pour devenir ce qu'elle est aujourd'hui, une fête de magie, mystère, déguisements et bonbons.
La tradition dit que les activités tumultueuses des mauvais esprits et sorcières sont les mêmes que celles des enfants, masqués par la coutume derrière les déguisements de fantômes et de squelettes. Tout se passe comme si les enfants sont la continuation de ces mauvais esprits par les déguisements qu'ils portent et donc par leur identification.
A eux donc de jouer les tours que jouaient les morts en passant une dernière fois parmi les vivants...
Histoires d'Horreurs...Une grand-mère s'appelait Joséphine et vivait dans votre ville. Un soir elle était en train de regarder la télévision, le téléjournal, et quand on allait mettre une publicité quelqu'un frappa à la porte. Une fille d'environ 25 ans était là. Elle dit être perdue et demanda l'hospitalité et elle demanda de rester 3 jours. Elle était très polie et serviable et chaque jour elle sortait pendant la nuit. Le troisième jour, Joséphine regardait la télé comme d'habitude et vit le portrait de la jeune fille au journal. Elle s'était échappée de l'asile. Ce soir là, elle ne trouva pas chouchou (c'est son petit chien) à ses pieds, elle leva les yeux et vit la fille qui avait un couteau à la main, un couteau dégoulinant de sang. Et c'est ainsi que périt la vieille femme Joséphine avec son chien chouchou. La fille est toujours dans les parages donc faites très attention !!!!!
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C'est l'histoire d'un jeune couple qui venait d'aménager dans un vieux manoir sombre. La première nuit, la jeune femme ne se sentait pas rassurée; malgré tout ce que lui disait son mari pour la rassurer, elle n'arrivait pas à dormir. Afin de se changer les idées, elle décida d'aller dans la bibliothèque et de lire un peu. Elle prit un livre au hasard. Il n'y avait que des images.
Sur la 1ere image, elle vit une femme qui lui ressemblait, dans une bibliothèque, avec un livre dans les mains; mais elle n'y fit pas attention.
A la 2e page, elle vit la même femme mais derrière celle-ci, la porte de la bibliothèque s'ouvrait; elle se retourna, la porte était fermée.
Sur la 3e page, la porte était grande ouverte et un homme sans visage était entré; elle regarda par dessus son épaule, il n'y avait rien, elle alla fermer la porte à clef.
Elle regarda la dernière page du livre, l'homme était juste derrière elle, le bras levé tenant un couteau...
Le lendemain matin, le mari se réveilla et ne trouva pas son épouse, il l'appela et se décida à aller voir dans la bibliothèque. Il trouva la porte fermée, il frappa mais rien. Inquiété, il enfonça la porte et trouva ... sa
femme poignardée...
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Marine était une jeune fille tout ce qu'il y a de plus charmant. Elle était serviable envers tous ceux qui avaient besoin d'elle. Depuis peu, elle aidait une de ces vielles voisines qui ne pouvait se déplacer facilement. Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour être plus précis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses. Voyant Marine transie de froid la vielle dame l'invita à boire une tasse de thé. Pour la première fois Marine entrait chez cette dame. D'habitude elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant à la maison.
L'intérieur de la maison était assez triste. Les meubles, vieux et sombres, étaient couverts de poussière ; des chats étaient couchés un peu de partout, Marine eut l'impression qu'ils la fixaient du regard. Une odeur âcre flottait dans chaque pièce, l'air était difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine à s'asseoir sur un des rares fauteuils non occupé par un chat. La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l'eau pour le thé. Marine en profita pour regarder tout autour d'elle. Sur les murs étaient disposés des tableaux sombres représentants des paysages orageux, des gens miséreux. Mais ce qui attira particulièrement l'attention de Marine, c'était toute une série de portraits de jeunes filles de son âge qui avaient l'air terrifiées ou alors d'une extrême tristesse. De tous ces portraits se dégageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant un théière bouillante. Marine se leva pour l'aider, elle saisit la théière et la posa sur la petite table. La dame la remercia et s'assit. Elle expliqua à Marine que le thé qu'elle avait préparé était à la cerise, que c'était sa défunte fille qui l'avait fait juste avant de mourir l'été dernier. Le thé coula rouge comme du sang. La vieille dame demanda à Marine de lui raconter ce qu'elle faisait de ses journées à part aider les vieilles personnes. Marine commença à raconter qu'elle faisait de la danse, qu'elle chantait mais elle n'eut pas le temps de finir, la vieille dame se leva et expliqua à Marine qu'elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient l'aider. Elle attrapa un petit appareil posé sur la commode derrière elle et le déposa à côté de sa tasse. Elle incita Marine à boire son thé alors qu'elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s'occupaient jamais d'elle. Marine porta à ses lèvres la tasse bouillante tout en écoutant les histoires de la dame. Le thé lui glissa dans la gorge. Elle se mit alors à crier et à recracher son thé. "Mais...mais c'est...du sang !"
Elle devint alors livide lorsqu'elle vit le regard cruel de la vieille dame. Celle-ci se leva et saisissant l'appareil photo dit d'une petite voix terrifiante : "Enfin tu es à moi pour toujours !" Elle prit en photo Marine qui s'écroula aussitôt. La vieille dame développa la photo et la mit avec les autres portraits. Elle lui avait volée son âme et l'avait enfermée dans le portrait. La vieille dame prit le corps et l'emmena dans une pièce fermée à côté de sa chambre et l'assit sur une chaise au milieu de tous les autres, elle dit alors d'une voix nasillarde : "à la prochaine" et disparut comme par enchantement.
Des centaines de jeunes filles disparurent ainsi chaque 31 octobre et ce pendant des centaines d'années.
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Un soir, je travaille devant mon ordinateur, mon copain était seul au sous-sol. Il faisait un froid humide dans la maison et c'était très silencieux, je dirais même un silence morbide... C'est alors que j'entendis un craquement indescriptible (un genre de fracassement) et là, j'appelle mon copain qui ne me répond pas. Je lui crie à nouveau si c'est lui qui a fait ce bruit épouvantable et il me répond " Quel bruit ?" Alors là, je ne trouve pas ça drôle ! Je fais le tour de la maison pour voir si quelque chose n'était pas tombé par terre et c'est seulement arrivée dans la chambre à coucher que j'aperçois ce qui a causé ce fracassement... Le miroir de la commode était fendu de long en large en forme de flèche qui indiquait la fenêtre !!! J'ai appelé mon copain pour qu'il puisse venir constater avec moi que je ne rêvais pas ! Nous n'avons jamais su pourquoi le miroir s'était brisé tout seul et la flèche indique toujours la fenêtre, la cassure ne s'est jamais agrandie... Bizarre non ?!!
Et bizarre aussi ce corbeau sur la branche, en face qui regarde toujours vers la fenêtre
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Voici une histoire horrible, depuis trop longtemps oubliée ...
C'était une nuit, pareille à celle-ci, emplit de brumes lourdes et épaisses.
Philippe déambulait dans une rue très sombre, comme chaque nuit d'ailleurs.
Philippe était un sdf (sans domicile fixe) insomniaque très sympathique aimé de tous dans le quartier de Pensilv à Nie.
Mais cette nuit, il ne sentait pas très bien, il avait trop chaud, il étouffait même. Généralement en automne les nuits sont fraîches, mais là... cette chaleur … Il continuait de marcher quand il découvrit un vieux thermomètre sur le rebord d'une fenêtre, il alluma sont briquet et resta stupéfait il faisait 35°c !!! En pleine nuit du 3... Lorsque sa pensée fut interrompu par... le sol... il devenait brûlant lui aussi... ses chaussures... ses semelles fondaient... il se retrouva ainsi collé au macadam qui fondait de plus en plus sur une distance énorme et à une vitesse terrifiante...
Puis une sorte de siphon se forma au centre et aspira toute la chaussée jusqu'aux pieds du pauvre Philippe. Une lueur orangée en jaillit, suivit d'une chaleur encore plus intense... Philippe sentait sa peau fondre sur ses joues, ses doigts se transformèrent en gelée noircie, ses yeux coulèrent des orbites, son nez disparu, comme aspiré par le reste du visage... Ensuite, se fut son corps entier qui se transforma en bouillie humaine enfuie sous un fin amoncellement de vêtements ! ! !
A ce jour la route à été reconstruite et l'histoire de Philippe oublié.
Mais, une chose est sûre il ne faut jamais se promener seul dans les rues la nuit du 31 ... aaaarrrggghhhhh
Redac : Ponygurl